Messe du 01 Novembre 1457

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Le toscin sonna , xena se leva d'une traite, se debarbouilla, s'abillea de son bel uniforme, le brossa , le fit briller, enfila ses bottes, fit briller son épée et parti en courant à la chapelle pour acceder à la messe.

Elle courru le plus vite possible comme d'habitude. comem d'habitude elle était en retard , elle aurit peut être du achter cette mésange sur la marché de Blayes. cette belle mésange qui à chaque levée du soleil chantait. Cela l'aiderai peut être à être à l'heure aux messes.

Arrivée devant les portes de la chapelle, xena arreta de courir et reprit une marche "normale".

Elle salua les personnes déjà présente.

Salutation mon pére.
Bonjour major Fabent.
Bonjour monseigneur von frayner.
Bonjour monseigneur tadeus.
messire bolsius, bonjour.

Messire Ramirez en avait à peine terminer de remplir son formulaire, qu'il entendit un son de cloche qui résonnait dans l'écho des remparts. Jamais il n'avait entendu chose pareille. Lui qui venait, soit d'une grande ville, mais d'où son église, pour sur, était beaucoup plus modeste.

Le garde vit mon étonnement et, dans un clin d'oeil, me fit signe de pénétrer à l'intérieur du Palais Archiépiscopal.

Un peu perdu, malgré tout, et dans l'attente que son parrain/marraine le prenne en charge, il suivit ce bruit assourdissant et finit par arriver devant une batisse très imposante, des contreforts ornés de curieuses gargouilles lui faisaient face et le dévisageaient. La description de ce monument gigantesque ne serait pas possible tant qu'il en fut étonné. Un sentiment de malaise et de vertige le prit tout à coup et il dut s'assoir sur un banc en pierre pour en apprécier toute la magnificence. Certains dirons que l'endroit était plus beaucoup plus modeste que cela, il en était sur.

Pendant que les cloches tambourinaient tant et plus, l'église n'en finissait pas de se remplir. Des soldats, des magistrats, des aumoniers, et au loin le Cadet Land yves qui l'avait si gentiment accueilli lors de son entretien au bureau de recrutement. Il se souvenait aussi de la patience et de la gentillesse dont il avait fait preuve envers lui.

Je pris donc mon courage à deux mains et me dirigea vers l'entrée. Pénétrant dans la nef, je remarquai certains groupes de soldats, chuchotants et me dévisageants. Voyant un homme portant quelques stigmates de guerres passées, ils comprirent que j'étais soldat mais de ne pas me connaitre leur regard restés, malgré tout, méfiant. De plus, lui meme se demandait s'il pouvait pénétrer ainsi dans ce lieu de culte.

Un peu désemparé, je cherchait une place de disponible pour assister à la messe du jour. je remarquai justement, le cadet Land qui prié agenouillé sur un banc. Il se redressa et j'en profitait pour aller le voir "Bonjour messire Land, très heureux de vous revoir, puis je m'assoir à coté de vous ?"

Passablement en retard, la jeune femme se glissa dans l'édifice et s'installa pour suivre l'office, saluant discrètement ses frères et soeurs présents à mesure que les regards ou les travées se croisaient.

[hrp C'est court je suis dsl ..]

je vis entrer le vidame Cagi dans la chapelle, je le suivis et me signa puis alla m'asseoir discrètement sur un banc pour ne pas déranger l'office qui ne devrait pas tarder a commencer