Messe du 04 avril 2010

Ce matin Cagi était de bonne heure devant les portes de la chapelle, il y trouva Monseigneur Guiguil qui attendait, il avait du préparer la messe et venait accueillir les fidèles.

Bonjour Monseigneur,voila une bien belle journéequi commence. Après cette période sombre, hivernale, nous ayant beaucoup fatiguée, voila que le soleil brille a nouveau au dessus de notre forteresse.

Nouchka entendit les cloches sonnaient par cette belle journée ensoleillée
Elle alla rejoindre la chapelle pour assister a la messe
avant de sortir elle vérifia l'État de son uniforme

Arrivée devant la place il y avait mgr Cagi qu'elle alla saluer fraternellement
puis salua les personnes déjà présente

puis entra dans la chapelle, se signa et alla s'asseoir

Bien le bonjour à vous Monseigneur.
Eh oui, le soleil de Dieu réchauffe à nouveau nos corps et nos asmes. Le moral n'en sera que meilleur. Et je ne vous parle pas des jardins qui ne vont pas tarder à fleurir, et à tout ce miel que nous allons pouvoir récolter.

Kad vint à son tour à la messe du jour.

Bonjour à vous Eminence. Ne vous en faites point, je sais que nous ne pouvons saluer tout ce petit monde en de telles situations. Sachez que le bonheur est tout partagé. Et peut-être vous ferez nous l'honneur de prendre la parole devant la garde avant l'homélie, cela fera un bien fou au moral de tous.

Il inclina la teste, et laissa chacun entrer. Firent ensuite leur entrée deux capitaines de la garde.

Bonjour à vous Capitaines, Soyez les bienvenues en la maison de Dieu.
Je vais très bien, je vous en remercie. J’espère qu’il en va pareillement pour vous ?

Tout le monde là aussi entra, et Mun fit son entrée à son tour.

Bonjour à toi Mun. J'espère que tu te portes bien ?

Ce fut ensuite le tour de Tadeus, qui saluait toujours en breton. C'était là fait coutumier de la province de Bretagne. Et Guiguil appréciait cela, l'ouverture. il n'y comprenais parfois pas grand chose, n'étant point expert, mais bon il savait au moin dire bonjour.

Demat Major Tadeus.

Il salua ensuite d'autres élèves à qui il donnait des cours : viviemoi et Elia von Strass.

Cadet Elia, je ne sais si vous le savez, mais j'ai publier à Lyon l'annonce de la prise de fonction du nouveau diacre de Montbrisson, signé par SE Ingeburge. Nous avons eu tellement de mal à le mettre en poste, que je vous demande de veiller sur lui avec un très grand intérêt. Il me semble un élément prometteur, et nous ne souhaiterions point avoir à recommencer pour l'heure une telle entreprise.

il entra à son tour, et s'installa devant l'autel, attendant encore avant que de commencer.

(pour cause de lundi de pâques, on va attendre un ti peu demain avant de poursuivre. Il faut attendre ceux qui mangent tout leur chocolat, on n'est po des bêtes quand même. )

Guiguil laissa chacun s’installer et aidé des autres aumôniers, ils refermèrent les portes de la chapelle, ils traverssèrent la nef sous l’attention des Fidèles, Guiguil se mit à genoux devant l’autel, pour rendre grâce à Dieu, il murmura DUM LUCEBIT SOL PERMANEBIT NOMEN DOMINI puis se signa et prit place derrière l'autel pour la célébration de la messe et commença




Bonjour et bienvenue à tous et à toutes en ce jour ensoleillé en la Demeure du Très-Haut. Rendons grâce au Seigneur.
Hello and welcome to all in this sunny day in the Abode of the Most High. Give thanks to the Lord.
Ciao e benvenuto a tutti in questa giornata di sole al riparo dell'Altissimo. Ringraziamo il Signore.



Nous allons à présent, prier tous ensemble, pour le repentir de nos âmes et la remissions de nos péchés. Prononçons ensemble cette prière, pour confesser à Dieu nos péchés.
We will now pray together, to repent of our souls and the remissions of sins. Discussing all this prayer, to confess our sins to God.
D'ora in poi pregare insieme, di pentirsi delle nostre anime e la remissione dei peccati. Pronunciare tutto questa preghiera, a confessare i nostri peccati a Dio.

Quote :

• Confiteor Deo omnipoténti,
  Et omnes sanctis
  Et vobis, fratres,
  Quam peccávi nimis
  Cogitatióne, Verbo et ópere.
  
  Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa,
  Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres,
  Oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum
  
  Amen.

Nouchka repris en cœur

Quote :

Confiteor Deo omnipoténti,
Et omnes sanctis
Et vobis, fratres,
Quam peccávi nimis
Cogitatióne, Verbo et ópere.

Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa,
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres,
Oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum

Amen.

xena étant arrivé en retard, reprit du fond de la salle :



Confiteor Deo omnipoténti,
Et omnes sanctis
Et vobis, fratres,
Quam peccávi nimis
Cogitatióne, Verbo et ópere.

Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa,
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres,
Oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum

Amen.

La prière fut alors entonnée par l'ensemble des présents dans un recueillement profond.
[i]Une fois terminée Guiguil reprit.

Le Texte que je m’en vais vous lire, provient d’un enssemble que l’on appelle la Pré-Histoire. C’est un texte présentant divers aspects de la Foy Aristotélicienne et de la vie quotidienne.
Je vais à présent vous lire ce texte.

Guiguil ouvrit son livre et commença la lecture du passage choisi ce jourd’hui.

Quote :

Le temps faisant son travail, les hommes et les femmes devinrent de plus en plus nombreux, maintenant leur amour pour Dieu et rejetant dans l’ombre La Créature Sans Nom. Celle-ci nourrissait chaque jour un peu plus son amertume et sa colère envers ce peuple tant aimé de Dieu qui lui avait pris sa place de reine de la Création. Les hommes et les femmes vivaient insouciants alors que dans l’ombre, leur ennemi préparait sa vengeance.

Dieu avait ordonné aux hommes et aux femmes de travailler pour assurer leur subsistance. Ce dur labeur les éloignait ainsi de l’acédie. Et les hommes et les femmes savaient être inventifs, car Dieu les avait conçus ainsi. Ils récoltaient ce qu’Il avait placé pour eux dans la nature. Ils se mirent à contrôler ces ressources afin d’assurer leur subsistance et leur vie n’en fut que meilleure.

Ils prirent le blé qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Le meunier transforma le blé en farine dans son moulin. Le boulanger la cuisit dans son four pour faire le pain. Ils prirent le maïs qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Ils prirent les légumes qui poussaient dans la nature et les cultivèrent dans leurs potagers. Ils cueillirent les fruits qui se trouvaient dans certains arbres et purent ainsi s’en nourrir. Le plaisir apporté par les légumes et les fruits les rendait plus agréables à côtoyer.

De la mer, des rivières et des lacs, ils pêchèrent du poisson. Et leur intelligence s’en trouva grandie. Ils inventèrent la barque et les poissons se firent plus nombreux encore entre leurs mains. Parfois, certains d’entre eux se réveillaient un matin sous une barque. Ils priaient alors Dieu de ce cadeau. Ils élevèrent des vaches, des cochons et des moutons dans leur pâturage, prenant soin de ces créatures qui leur avait été confiées par Dieu. Ils les nourrirent et ces créatures devinrent plus grasses.

Le boucher prépara la viande à partir des carcasses de ces créatures. Pour cela, ils inventèrent le couteau, instrument permettant de séparer les chairs les unes des autres. La viande qu’ils en tirèrent les nourrissait, mais ils se sentaient surtout plus forts après en avoir consommé. Des vaches, ils prirent également le lait, doux nectar sans égal.

Ils tondirent les moutons et en prélevèrent la laine. Ils en récupérèrent la peau pour en faire du cuir. Le tisserand lia la laine et le cuir pour en faire des vêtements, qui les protégeaient du vent et assuraient la décence de leur apparence. La nature leur donnant accès à tout ce qu’ils pouvaient espérer, ils durent inventer des tonneaux, où ils purent entreposer les fruits de leur labeur.

Pour se protéger lorsque les fenêtres du ciel s’ouvraient, ils créèrent les maisons et y habitèrent. Ils les aménagèrent avec des lits, des bougies, des tables, des chaises... et tout ce qui pouvait améliorer le confort de leur vie. Pour cela, le mineur préleva la pierre et le fer dans les mines. Et le bûcheron coupa le bois des arbres. Pour faciliter ce travail, le forgeron modela le fer et le bois pour en forger des outils, tels que les haches ou les couteaux.

Parfois, Dieu contribuait à cet âge de bonheur en donnant à ceux qui savaient aimer le monde de la nourriture, qu’ils n’avaient alors pas à produire. Parfois également, ils les encourageait en les rendant temporairement plus forts, plus intelligents ou plus charismatique. Et le dimanche, avant le repas, ils se réunissaient au milieu de leurs habitats, autour de la tombe d’Oane, pour prier ensemble Celui qui les aimait tant. En effet, ils n’avaient pas encore de clercs, car n’en avaient pas encore l’utilité, étant en communion directe avec Dieu

Ce texte fait écho à celui que nous avons étudier à la messe dernière, car les trois cercles, souvenez vous-en, la ville parfaite révée par Aristote, cette ville, doit également avoir la foy, et ce texte montre au combien, par les bontés innombrables faites par Seigneur, que nous avons les moyens de prospérer. Le travail est nécessaire, car il permet de n’en point tomber dans l’ennui, et allié à la Foy, tous, arrivons à lutter contre la perfidie de la Créature sans nom. La Foy pure des paroissiens, est récompensée par le Tout-Puissant. Qui ne s’est jamais réveillé au petit matin pour œuvrer à ses tâches, avec un présent du Seigneur près de lui ? Ainsi donc, alors que vous donnez au Seigneur, vous recevez des marques de satisfaction. Louons le Seigneur, et continuons à le servir tout au long de nostre vie.

Mais, les hommes entre-eux s’apportent également du bonheur. N’oublions pas ainsi l’Amour que nous éprouvons l’un pour l’autre, cette communion qui unie la foule sous le regard de Dieu.
L’amour, c’est aussi le remerciement, la reconnaissance.

Il tourna ses mains vers l’assemblée

Uriel, mon fils, mon frère, approche.

Guiguil vit alors Uriel approcher de l'autel, et lorsque celui-ci s'inclina devant le premier aumônier, Guiguil ne put s'empêcher de parcourir d'un oeil bienveillant et un peu espiègle l'assemblée ainsi présente. Il posa sa main droite sur la tête d'Uriel, positionnant l'autre mainau dessus de tous, comme pour appeler à témoin le Très-Haut.

Mon frere, tu as déjà prêté ce serment, mais en ce jour, devant Dieu notre Père et devant tes freres et soeurs, je t'invite a prononcer ce serment à nouveau, serment qui te liera a la garde episcoaple que tu as souhaité integré il ya quelques mois deja et que tu sers avec beaucoup de conscience et de foi.

Gardant la main ou elle etait, il prononca le serment pour que le futur Haut-Dignitaire puisse le repeter a sa suite:

Quote :

Je jure de servir avec honneur et loyauté l'Eglise.

Je jure d'être au service de la Garde Episcopale, de mes supérieurs et de Rome.

J'accepte et comprends la suprématie de mon engagement envers le Très-Haut et Ses saintes institutions face aux pouvoirs temporels.

Je jure de protéger l'Eglise.

Je jure d'être respectueux du Dogme et du Droit Canon.

Je jure de servir de mon mieux la cause et les idéaux du bien en vivant dans le respect du Livre des Vertus.

Parce ce serment fait, je deviens et demeurerai membre de la Garde Episcopale.